samedi 19 octobre 2024

Titre: Âme encrière Sous-titre: Deux 20 et un 19

Titre: Âme encrière 

Sous-titre: Deux 20 et un 19 


Vénère, je vénère l'amulette fantomatique

Mécolle vénère adonc peau de zébi

Parce l'amulette de mon essence me porte guigne

Mon âme en vair

En Vers

Maux nonques s'avèrent, 

Mon âme ment à mes mots pairs


Mots qui errent 

Ô iceux découlent d'un astre

Menu-vair

Hermine


Sieur Baluchard 

Vicelard

Pègre de mon encre verte

Écumes brûlées

du Jardin de mon enfance

Fleuve rouge diluvien

D'un cœur purpurin

Mon cœur autan rêve d'un coeur alizé

Monceau

de morceaux

Fugaces

écachés


Tribulation 

Ô bouquet de vins

Guedins

Fifrelins

Le trognon de mon âme brouit un froid de loup

Icelui pleure

Et se Réchauffe

dans le giron de ses larmes

Il fait frisquet

Ô Temps de singe en laiton

Mon âme que la vie n' a point réchauffé Endéans les 5 dernières berges

a lu 

Que Le talus de la mort 

est la cime de la vie

Et vît ma Vie 

aux vrilles d'un hâve point chambellan

J'ai lu la nuit

L'histoire qu'a écrit le jour

J'ai écrit la rosée du poitron-jacquet

Mes Prunelles aux neilles éclairées éclorent

J'ai lu la vesprée qui nuit

Icelle Inexpugnable


14-15 octobre

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lundi 16 septembre 2024

Titre: Le Paon spicifère Deuxième titre: Il pleut sur mon coeur

Extrait 1: (décembre 2023)

Premier titre: Le Paon spicifère

Deuxième titre: Il pleut sur mon coeur


Il pleut , y roille , il pleut bleu azur 

Il pleut blanc sur mon cœur

Il pleut des seilles

Supra mes larmes vermeilles

Dans les Filons de mes turlurettes adonc falunées groseille

La fine fleur de mon cœur est non-être

Cézigue recru et mézigue dont le cœur marcotté xanthoderme

a son estre dans le réverbère des éteignoirs drilles de mes perruches ondulées

Ô Panne faîtière emblématisée par un Paon spicifère

Si encore ce pavo muticus avait la symbolisation kif kif bourricot d'un Pavot d'Orient!

Cézigue émaillé d'un répit sempiternel, Ô rêverie édénique! Ò guêpiers et nasses de ma vie! la quadrature du cercle...Je suis aux aguets d'encontrer la fin régner 

Et j'ai été l'oie cendrée de ma virescence essence 

Ô vrais guêpiers montagnards ,ores à l'instar de céans , aux plumages verts et jaunes, Mécolle vous accole une couleur, sieurs merops oreobates, pour accepter ma sommité fleurie! 

Par le truchement de votre gracieuseté, enluminez-moi ne serait-ce d'une fleurette, et des nèfles un Bibi à fleurs

Du vide existentiel à icelui, Sieur Baluchard, tézigue m'interpelleras plus tard

Et dans l'Isabelle amazonite de mon abiéticole désespérance 

Dans les lais et épitomés , mon âme au loin

à dache

fait un froid de gueux

Et en déça je prône,prou ces vers naguère venus à l'esprit : 

<< Dans la nivo(-) de mon coeur, Ô nivo(-) , je vis, je meurs....prise dans cet étau foudroyant et graveleux, je brûle mes maux dans cette douce froideur et j'ai peur...>>

Mon eau desespérée coule et mes feuilles ne grandissent plus

Ma foliation démantibulée... mes pétioles et folioles, je reluque leur aura derechef lambda

Questions poétiques

Questions poétiques (avril 2023)

★ Même concept que Le livre des questions de Pablo Neruda

• Quelle couleur a le regard d'une olive qui contemple le monde?

• Pourquoi dans la nature, la feuille devient un cœur vert et a des veines?

• Pourquoi en automne, nos larmes prennent la forme des feuilles et changent de couleur?

• Pourquoi au printemps, dans l'ombre douce du crépuscule, le soleil n'est plus dans le ciel et vient se reposer au cœur des fleurs?

• Pourquoi l'olive se rétrécit pour se poser à la place de prunelles vertes ou noires?

• Pourquoi lorsque l'on joue de la guitare on ne fait pas vibrer le noyau de l'avocat?

• Pourquoi les amandes émondées se sont noyées et ont jeté leurs ordures dans de l'eau propre?

• Pourquoi les zestes de l'orange veulent mourir dans la cheminée et pas ailleurs?

• Pourquoi la feuille ne cache-t-elle pas ses rides lorsqu'elle vieillit?

• Où se cache le secret de la feuille qui boit dans se noyer dans la pluie torrentielle? Comment peut-elle absorber l'eau sans jamais succomber à la surhydratation?

• Pourquoi le soleil se brûle chaque jour?

• Pourquoi lorsque la saison vieillit, les feuilles pleurent?

• Pourquoi une rose à la couronne d'épines en-dessous de la tête coud-elle toujours les cicatrices d'une robe de la même couleur?

• Comment les abeilles parviennent-elles à butiner le soleil grâce à leurs nuages?

• Pourquoi les oiseaux dorment-ils sur des oreillers blancs volants qui, pendant les tempêtes, changent de nuance?

• Suis-je invisible ou est-ce la vie qui me joue un mauvais tour sans peindre mes jours en noir?

• Pourquoi quand il pleut, le ciel pleure?

• Pourquoi pendant les fêtes, les feux d'artifice viennent illuminer le ciel à la place des étoiles en les remplaçant temporairement?

• Pourquoi lorsque les vagues arborent un sourire triste, leurs courbes ondulantes nous font penser aux serpents qui se faufilent dans l'eau? 

• Pourquoi lorsque l'on joue au tennis, on jette le citron sans l'éplucher avec une raquette?

• Comment la page vit-elle en buvant uniquement l'eau de nos plumes, sans rien manger?

• Pourquoi lorsque l'on épluche l'orange, elle se transforme en nénuphar?

• Pourquoi notre empreinte digitale est-elle mal imprimée lorsqu'on la pose sur une photocopieuse?

• Pourquoi lorsque la vie nous appelle, elle ne compose pas de numéros pairs ou impairs?

• Pourquoi lorsqu'il fait nuit, le livre ferme les yeux sans nous prévenir?

• Pourquoi lorsque la mine du crayon tombe, un cornet beige apparaît?

• Puisque la serrure a la forme d'une tranche de pain, pourquoi en énfonçant nos clefs, nous ne jetons pas la mie?

• Pourquoi lorsque la vie nous appelle on ne répond jamais?

• Pourquoi lorsqu'il pleut, le ciel n'essuie-t-il pas ses larmes avec ses nuages? 

• Pourquoi la balle jaune du ciel est toujours aplatie?

• Pourquoi les vagues des pages ne sont pas toujours colorées?

samedi 31 août 2024

Titre: À la rose d'une vie urticante Sous-titre: Le journal intime de la vie

J'ai oublié comment les roses poussent sans germe

 et comment la vie sème la pluie d'hiver


Dans tes yeux les roses sans les épines Sont belles mais seront-elles éternelles avec?

Les pétales pleurent et les fleurs guettent le retour

d'un matin et d'un jour 

sans une âme qui succombe

sans l'amour

L'amour de vivre et la foudre 


Tu es une rose

Ô rosace 

Comme la vie

Ton parfum enivrant

Brûle mes epines

Mais la vie monastique 

M'empêche

De te les égratigner

Et me blessent en m'effleurant


Le problème avec les roses de la vie

Est que lorsque elles pleuvent

Elles esquissent des gouttes d'un orage blanc 

Et leurs pétales s'envolent 

Ô rosace d'un temps qui rime 

À rebelote

Rebelle et morne 

Limbes, oc bords des pétales d'une fleur

Ligulée

Mutée

Roses aux pétales ocre du jour 

Rapine d'un serin 

Malheurs à la rapine

Et si la rose de la vie était 

Le mélange 

D'un vain vin et du blanc de la vie?


Les nervures coulent 

Mais ta fleur ne se fane pas

Tes Carpelles et nos sillons

Nous ont raccordé de mon premier jour

Mais en deçà de la brise rouge

Mon âme qu'a frôlé la bourre

S'est retournée

Larmes de baies papillotantes et d'engrais 

D'un amour-bijou gris bleuté


Amour diamantifère

D une vie aurifère raillée


La réalité se pare de l'imaginaire 

L irréel est le réel 

Et l'imagination fait partie de la réalité 


Ô rosace de la vie

Tu es belle 

Mais tu m'enivres

Je ne parle pas de toi mais du miroir que la vie a porté et t'a infligée

Ignorance forgée 

D'une aura mignable

Ou d'un destin minable

Conscience et inconscience écoulées 

Dans un brasier


Rédigé le 8 juin 


dimanche 25 août 2024

NB (Citations,textes)

Mes citations --> uniquement disponibles sur mon compte Instagram (marieangebouzaid.poemes2) : 

⬇️

https://www.instagram.com/s/aGlnaGxpZ2h0OjE4Mjg3ODg3NjU3MDg4MzI1?story_media_id=3314835142164777013_61211883026&igsh=MTVkdm9lNm01eHpoYw==


Mes textes 

⬇️

https://www.instagram.com/s/aGlnaGxpZ2h0OjE4MDA4NDI1MTIxMjI2ODAw?story_media_id=3367871563601969536_61211883026&igsh=MWhrdml6b2w3dDF1ZQ==

vendredi 21 juin 2024

Gabriel et les vignerons

 Gabriel et les vignerons 


Craie vermillon


Craie vermillon


J'entends ton prénom


Dans les soleils et les buissons


Murmures et flux de zython


D'un bourguignon qui fait le tour du cadran


Tézigue a son estre


Dans la réverbération d'un miroir


Dans ton estre étoilé et sélène



Ô Viticulteur


Vin de mon cœur


Jus de la treille


De groseilles 


D'une Salsepareille


Le myosotis pleure


Endéans la neuille


Mézigue itou vendangeuse


Ô vignieux


Pépins-épines d'espines 


Aubépine Rouge passe-velours


Sur mes feuilles velues


Ô Cyprée 


Vulve de truie


Sécolle carillonne 


Sans désemparer 


Le monceau d'échos


Ô vignet


Les froments verdoient


Tonnelle où grimpe la vigne 


Pinard jinglard


Ginglet ou gourmands picrates


Dans le layon de battements d'une pluie rouge


Papillonnements dans une charmille cauchemardesque 


Ombelles et Astrée d'une cohue de rêveries bleues


Chopine d'une tripotée de pétaudières


Gave rouge débordée 


D'une Grappe



Bouquet d'épis et pelons du bourguignon 


Niveau jaune


En deçà d'un treillis soudé


D'un croisillon autonivelant de fer


Ruelle d'un cœur raine


De mes veines 


De mes filons 


Onques jantilles turlurettes


Ruelle d'un coeur raine


Qui transperce, par-devant les affûteurs


La niv(o)- d'une âme en chœur


Pas à un cœur lie-de-vin et artériel qui ne vieillit pas, mais à l'amour-fleuve rouge alizarine à la Saint-Glinglin sénescent d'un gandin épatant

           

 

lundi 13 mai 2024

Le labyrinthe d'Icare

La vie s'envole

Les volutes d'eau 

Effleurent les maux

La haine supplante le beau

Et emporte l'amour

L'affadit lorsque le jour

Se brise en écume

Et frôle le rivage

Icare, à terre, recru

Fallacieuse amertume

Hagard, il a éraflé l'écume


Il virevolta dans les nues

À l'instar d'un ingénu 

Par les plumes de cire d'abeilles

Il scelle des ailes

Et se mire dans la brume

Se croyant si râblé 

Au lieu de stagner l'entredeux

Entre ciel et bitume

Il s'approcha trop près du soleil 

Et lorsqu'il le côtoya 

La cire fondit

Et Icare s'abîma en mer

Mer Icarienne


Le soleil aux rais reluisants

Lui fait part d'un châtiment 

Le soleil, bienveillant

Lui apprend

De ne point désobéir à ses parents

Car iceux veulent le bien de leurs enfants

De ne pas effleurer les cieux feints

Ou se noyer dans les gouffres marins


Minos somme d'ériger un labyrinthe

Pour y enfermer le minotaure

Fruit de l'amour adultère 

Entre Pasiphaé et un taureau blanc


La relation ne coule plus à flots

Entre Pasiphaé et Minos


Ariane confia fil et glaive à Thésée

Et lorsque le monstre roupillait

Le fil déroulé 

Il l'abattit sans répit 

Et escorta le chemin de liberté


Dédale et Icare

Lestes

Leur faute est défaillante 

Mais leur sort est funeste

Et leur vaillance perdure

Même si dans le dédale lugubre

Leur liberté se mute en prison

Certes, l'effervescence prend feu

Mais rien ne les empêche de dire adieu

Au plan qu'ils ont concocté

Tous deux 

Et d'abdiquer

À cet enjeu


Minos voulait garder le secret

De la passion interdite, entre les deux bien-aimés

Il ne s'est pas allié à un brin d'espoir

Sans queue, ni tête, il broyait du noir

Et craignait le scandale au dépourvu 

Dédale et Icare, innocents 

Subissent, écroués, son châtiment 


<<Icare 

Notre fuite est entravée 

Par la terre et l'eau 

Mais le ciel et l'air sont libres

À l'image de ces oiseaux 

Nous allons voler

Et fuir

Ce labyrinthe maudit>>


Ma vocation, à la place d'Icare,

Serait de chercher,

Avec ténacité,

Mon propre fil d'Ariane

Je ne serai pas frivole

Comme il l'a été dans son envol

Je n'encontrerai pas 

Là-haut ou Ici-bas

La chute vertigineuse

D'icelui déchu


<<Vole entre les deux>>, lui a-t-on conseillé

Ni trop bas, ni trop haut, pour ne pas se/te brûler 



Icare, audacieux, s'élance vers les cieux

Les ailes déployées, il virevolte, majestueux

Mais je prendrai sa place, je m'envolerai

Pour trouver mon rai de paix


Ni trop bas, ni trop haut, je naviguerai

Dans les airs, avec prudence, je m'élancerai 

Les ondes de crainte ne m'atteindront pas 

Je garderai mon équilibre, je ne flancherai pas


Icare, audacieux, s'élance vers les cieux

Les ailes déployées, il poursuit ses vœux

Mais garde en tête, Icare, cette leçon 

Entre les hauteurs et les abysses, 

trouve ta raison


Cherchons l'équilibre entre nos aspirations et nos réalités 

Pour stagner le plus haut rang,

Pour ne pas que l'on erre

C'est là que se trouve la voie du succès

Voler avec ambition en gardant les pieds sur terre


Pour ne pas que mes rêves s'effondrent

Pour ne pas que l'orgueil me brûle

Je virevolterai entre le doute et l'assurance

Entre ciel et bitume


Le mythe d'Icare élucide

Que l'hybris mène à la perdition

Prenons garde aux limites de notre envol intrépide 

Pour que nos rêves se réalisent sans déraison


mardi 2 avril 2024

La festa del bocolo

Les godelureaux, parés de leurs galurins

Offrent à leurs âmes sœurs un bocolo, une rose rouge

Ô gandins et bien-aimées ! Ils célèbrent la festa del bocolo, chaque année

Ô rosace écarlate qui émoustille iceux et les dépeint vivaces

Lès la mer, ils vivaient leur idylle, tranquilles

Le muscadin lui offrit une rose, promettant de revenir

Scoumoune, il ne revint onques, à dache, en deçà des îles,

Il virevolta, comme un oiselet


                        Le 2 janvier 2024

mercredi 20 mars 2024

Titre: La Reine des neiges Sous-titre: Marie-Hélène, non pas ma haie de laines, mais une reine

Ma mère
Ma mer
Dans la pupille et pluie
de tes yeux et de ton coeur 
Je peins un soleil 
En ton œil de tigre miel
Tes cils battent
Et font battre mon cœur
Dans ton âme je sème 
Les saveurs et les vigueurs
D'une déesse en fleur



Ta voix de cristal berce mon âme
Dans un jardin blanchi
Ta paupière divinise mon coeur
Ta symphonie et tes fleurs épanouies, 
même dans la plus sombre nuit
peignent tes yeux veloutés 
d'un héroïsme infini 


Mon âme rêve
Aux heures de rosée
De tenir nos deux cœurs
À l'encre d'un cristallin millésimé


Frissons 
Orage épars
D'un regard vermillon


Mon printemps doré s'éclose
À peine encore
Nymphe éclose 
D'un ciel que tu décores

Qu'est-elle devenue , ta fille ?
Une étoile
Ton étoile qui
De ses rais fleuris
Rêve de la vie
Est le rêve de la vie
Hait le rêve qu'elle fit
Celui de la vie

Le petit pli d'une âme que fuit
La douce mélodie
De ton coeur de lys
Vague d'une floraison divine

Je m'endors puis me réveille 
Et ton parfum de lilas
Orne mon sourire d'un éclat
Je ne veux être que dans tes bras


Tes paupières lunaires
Secret d'un ciel non-pareil
Écrivent des souvenirs vermeils


Dans ce poème 
Cet océan 
Cet azur des cieux
Je grave nos noms
À nous deux 
Pleurer sur cette page?
Brodée d'eau douce et de jantils miroirs
Secret de la nuit et du temps
Maman, ne laisse plus les mauvais miroirs marcher lentement]
Car ils marchent sur les rêves que je construis depuis si longtemps]

Ta voix luit dans les bois blancs
L'air pleure
Tu le coloris
De ta douceur dans les ombres
D'une vie ensoleillée

Maman suis-je devenue la flamme?
Le souhait 
Que je t'avais promis d'exaucer?

Je veux 
Que
Les racines de ton coeur
Peut-être bleu 
poussent dans mon âme 
Et la parfument de tes beaux yeux
Et aveux

Mon cœur est le titre d'un livre
dont le tien ne connaît pas les pages
je t'aime et je t'aimerai jusqu'aux plus beaux âges] 

Maman 
Tu es 
La parole d'une chanson douce
La belle princesse à la crinière rousse

J'ai écrit les lettres de ton nom 
Sur les glaciers, dans la pénombre
Même si l'eau des rivières argentées 
Coule près d'icelui gravé
Ton nom ne fondra jamais

Aux pétales d'une reine neige
Je veux 
souffler dans notre neige
Semer un vœu éternel
Dans chaque regard où neige
Ta peau dorée et beige

Maman 
Tu es la reine de mes neiges 
ta forte personnalité m'émerveille 
tu brises les mauvais rayons de lumières 
et sèmes des flocons d'un cher arc en ciel blanc
sur mes veines

Ta robe prend la couleur de tes yeux 
pleine de flocons, plus vaste que les cieux]
Je peins des paillettes sur tes sourires qui restent printanniers]
Malgré l'hiver froid qui t'as demeuré

Maman, je plonge une pétale d'eau dans cet encrier
Et d'elle j'écris
Notre mélodie 
que tu as toi-même composée
Et elle restera ancrée 
à jamais 
dans mes pensées

Dans un bouquet d'épées 
Tu es la seule fleur en pierre
À l'Enveloppe d'argent doré

À ma mère adorée 
À mon soleil printannier
Pluie de bords de rivières 
Verrières
En pierre


Le 15-16 mars 
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mercredi 13 mars 2024

la Bellissime plage du Lido de la Sérénissime, lès « Il Palazzo del Cinema »

Je peins des paillotes, ô foraminifères ! je me gaudis lès l’encre de ma plume]


Sans toi, ô grève ! je m’enlise dans l’amertume]


Noyée dans le noir, noyée dans la brume  


Je grave ton nom sur le sable et les écumes]


Ô plage d’Alberoni, ô magot ! Ô trésor qui tient lez ses paluches une perle en nacre]


Ô ravine et gave, je gamberge en deçà de la laize du felouque]


Mon âme s’endimanche de moult coraux et mézigue reluque une caravelle] 


Ô firmament fluviatile ! tes strates, brasillant à l’instar d’un gandin] 


Dorlotent les micas, Ô ipséité des macles qui exsude la philanthropie de mon âme]  


Icelle point timoré  


Ô inanité d’une Vie hormis la Sérénissime, je subodore l’aura du limon] 


Sans Venise, mon cœur se brise et le sable vacuolise des larmes d’escarbilles, et seulabre, ô larmes qui le carmine comme le vigneron de la Gioiosa]


Ce sable écarlate se perdra sans Venise, son plus beau présent, Ô oc ! Icelle, plus belle qu’un muscadin]


Il fait un vœu de guilleret… que Venise ne s’estompe jamais]


Ô lido, lez il palazzo, les pentacles s’embrasent]


Les cinéphiles adulent les porte-étendards]


Même dans le coaltar, ils sont éberlués par la parpagne qui borde le palais]


Dans la Cambrousse, leurs gobilles épanchent un tantinet d’eau]


Ils refoulent leurs larmes des façades en verre et en acier qui les désarment]


Les ypréaux, onques balle-peau sont cruciaux et gîtent dans leurs cœurs]


Et la vie ose me quémander ce que je ferai si Venise s’effiloche à brûle-pourpoint]


J’arborerai un sourire postiche !

Parce ébrécher le diadème de Ma Venise,

La couronne d’icelle qui irradie ma coruscante marquise]

M’imbibe dans une abîme … Ô accastilleur de mon cœur…mon âme se meurt au fil du temps]

J’ai le Palais de l’heur

Parler d’un palais et de ses flots… Ô ardeur]

Parler de vozigues , bourgeons d’une floraison concomitante]

c’est rêver tout simplement…

Le psyché dont mon cœur est orné me claironne <<D’antan>>]

Oui, Venise, a été de tout temps la cacique d’icelui, épreuves exubérantes de la vie]

Et a fait battre sans trêve les palpitants

Ô Bellissime plage du lido, Ô palais, émérite joyau]

Vozigues, adamantines, mon sang, mon encrier]

C’est à vostre essence que ce poème est dédié]


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                                 Le 3 janvier


dimanche 10 mars 2024

L'île de Burano

En deçà des bardeaux , les hameaux bariolés d’ocre rubicond, jaune et d’autres coloris
Plus beaux qu’iceux, qu’un carouge et un cardinal rouge
C’est à l’aune de mon regard que les piafs s’avèrent babillards
Les aigrettes ardoisées sur icelle, avifaune lagunaire, volettent dans le ciel et le parsème d’un Havre de paix
Ô firmament ! Ô ciel, archipel mirobolant ! Ô voûte céleste plus belle que l’eau d’une aiguière d’or sur une vasque d’argent
Ô dentelle de Burano ! Ô légende ! Il y a de cela fort longtemps une jeune mariée de Burano, diantrement talentueuse dans l’art de la dentelle
Qu’elle aurait été enlevée par les sirènes, et rebelote elles ensorcellent ?
Ô nenni ! Ce n’est point leur fiel qui s’éveille !
Les sirènes l’ont enlevé pour lui faire part de motifs suaves ! Oc ! d’une grandiose délicatesse
Ô ! Des motifs de dentelle d’autant plus exquis
Et lorsqu’elle s’est rendue à burano
Elle a fait savoir ses nouvelles connaissances aux autres raclis, oc ! aux femmes de l’île
En vaporetto, mécolle admire les quartiers Dorsoduro et Cannaregio
Et peins mon ciboulot des bagues en verre de murano
Ô bagues en forme de gondole et bagues cabochon en verre dichroïque
Vous avez vostre estre dans les agrestes d’une ville féerique !

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                                 Le 2 janvier

jeudi 29 février 2024

La Sirena

La Sirena


Ô chalutier, icelui lorgne cézigue, la sirena]

Icelle gicle de son drège pour se baquer dans les flots lagunaires]

Ô nymphe des océans ! Cézigue resplendit par le truchement de la crinière rousse flavescente sur sa coloquinte, frétille de sa monopalme et céans,]

Dans le giron des eaux glauques, elle braque ses gobilles sur la nasse qui l’écrouait]

Et s’esbigne, à dache

Icelle aux aguets de s’appondre aux marins pour les enchanter]

Oc , sans écrire à iceux des panégyriques, elle les infatue par sa ritournelle]

Elle interpelle leurs pommes mais les garder en vie ? Que nenni !]

En les envoûtant, endéans les nuits vénitiennes, elle les escorte au trépas]

Prenez garde à vostre essence!]

La Dame de l’eau peut ruiner votre existence !]


Elle barguigne puis sursoit son affleurement]

Prendre la poudre d’escampette ? Nenni]


La quintessence ! Judicieuse, maligne, elle s’emmitoufle au cœur des eaux qui la coltinent]


Et lorsqu’elle dévisage les barlus mettre les adjas, elle s’exhibe] 

Ô Sirena de Venise

Ô enchanteresse

Mi mistinguette mi ichty(o)-, tézigue m’ébaubis de ton aura bath et me grise]


Icelle a son estre dans les flots lagunaires, ô mirifique déesse

Ses cheveux, icelui, à l’instar d’un chrysocale, fulgurent en deça des rais du bourguignon]

Mais attention, ouvrez bien grand vos esgourdes ! prenez garde à vozigues]

Parce sous tutelle d’icelle, nozigues ne pouvons point s’en dépatouiller]

Embourbés, maudits… Ô tuile!

Il sied d’être point hypnotisé par les trémolos de leurs voix ouatées !]

Tâchez de l’effectuer nonobstant son aspect alambiqué]


Vous ne naviguerez pas adonc devers des récifs scabreux, des flots impétueux]

Et vous ne trépasserez pas !

Dans le mitan des flots , en deçà du pont des Soupirs, lez les ruelles larga mazzini et dei Fabbri]

Ô Dame de l’eau ! Icelle frôle les écumes ! Ô chant enjôleur qui fait rêver et cauchemarder]

De Ses lampions d’azur, elle racole les âmes des marins]

Ô enchantement ! icelui ne prendra onques fin]

De ses quinquets qui réverbèrent les eaux , elle enivre les marins de sa carmagnole]

Ô vagues en passe de se déferler! Icelles se soupesant débonnaires! Ô eaux qui pioncent et méconnaissent l’inauthenticité de leur Vigie !]

Ô ballet pantomime malmené avec grâce, Ô branle analogue à un ornitho- qui prend son envol]

La Sirena, vigile de son antre ornée de parfums d’aurore et itou amers]

Ô muse d’un écrin qui peut plaire et déplaire … tézigue se mire]

Dans les abysses cabalistiques, Ô mystère qui reluit ! La muse ne peut se languir]

Elle susurre prou de vers

En deçà de l’écho de sa voix qui tintinnabule dans l’aure, les maux des marins coulent et la brise s’apprête ores à s'advenir saumâtre]

Elle attire leurs âmes devers un destin amer]

Et les autres caboteurs, buttes-témoins d’iceux morts, la jaugent infâme]

La Sirena est taularde de son univers nautique,]

Il est inconcevable qu’elle conflue avec les terres fantastiques]

Ô Sirena ! Tézigue escorte les matelots aux Andésitiques]

Ô destin rocambolesque indu !

Faire un esclandre car leurs âmes divulguent des calamités ?]

Ô Sirena ! Son cœur chavire en deçà de la mélancolie,]

Songe-creuse ? elle caresse le rêve de découvrir la terre et sa magie]

Mais lorsqu’elle effleure les rivages,

Sa queue de poisson lui remémore son héritage]

Trouver le pot au rose de la vie ? Éventer la mèche ?]

Elle chante, chaperonne un brin d’espoir,]

Aspirant à trouver un jour un subterfuge salvateur pour éluder le noir]

Un essaim de thalassophiles la jaugent à nul autre pareil]

Le beau temps se radine-t-il toujours après ce ciel qui pleut des seilles ? Ô orseilles]


Hui, Les copeaux de la Ribambelle de matelots]

S’exacerbent dans icelui, ces mots, panacée de leurs maux]


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Du 31 décembre au 2 janvier


mardi 27 février 2024

Titre: À la recherche du sens perdu

 Titre: À la recherche du sens perdu

Sous-titre: Brisures de pierre cordiformes


Dans la venelle du cœur


J'effleure les cembres


En deça de mon âme 


Jolie ambre


Immortelle


Dans le mitan de l'antichambre 


Lambre de mer et bocambre azuré


Lez les flots de mon cœur


Vie saupoudrée


D'une pierre d'aigle


De moments ruinés


De larmoiements effondrés


De célestine et chalcopryte


M'arcbouter de porter la bauta de l'heur


Discréditer mon heur ... pourquoi?


Ô Ma vie d'antan 


Mes larmes me brûlent 


M'enflamment dans une mine lugubre


Miroir d'eau bordeaux, ô vasque d'or


Le bourguignon est ma lune, encor?


gris anthracite, dilemme dans la détrempe de mon château noir? 



Couleur broyée de ma vie


Iambe d'une chambranle brisée


et médellion bleu céladon agraire et cordiforme perdu


De mon amassette , dans les tréfonds de mon pennage 


Ô Terre d'ocre d'une flamme dévastée 


Le Zéphyr est une agame dont l'âme, pétale, perle de larmes, perle noire, remémoratrice de mauvaises souvenances


Relents 


Reliquats


De mon âme lardée d'effroi 


Réminiscences d'un écheveau 


Infortune , bercée d'ecumes


Je me fourvoie dans la brume


À l'instar d'un papillon monarque aux ailes brisées 


Je porte, blanche comme neige, le faix qui m'a été imposé


Ça fait quatre ans que je pleure 

Et même quand mes larmes ne dévalent pas mes joues 


Le sang acquacole halé de mon cœur coule dans mes veines en pleurs


Épancher mon cœur?


Remplir des sceaux de larmes


De mon être qui s'enflamme


Et m'éperonner, recrue, en rafales 


Exténuée 


Sous les bois d'un étau sacré


En duel 


Dans une spirale


Jusqu'à la fin des temps


Au cœur des vagues


L'âme en vrac


Les volutes de mon âme et de mon cœur m'endêvent 


J'ai peur des faux sourires que je sème 


Je me perds dans des rires noirs et un brin de génois


La delphinière, je l'accule et mes roses acculées se dissipent 


Et je resterai un livre 


jugé sur sa couverture


résumé en égratignures 


sans que personne n'écrive mon histoire


mais je peindrais mes propres pages avec la couleur de mes maux


<<À l'encre de mes mots, à l'ancre de mes maux, à l'ancre de mes mots>>


Aux voiles d'un livre


Dont les ailes effleurent


Les vagues d'un écoeur 


Les nuées et les écumes 


D'un ciel et des dunes 


Je virevolte dans la houle de l'émoi


Barlu ivre 


Mais pas n'importe quel livre, vous avez tort


Mon florilège d'épines, ma mandragore 


Dans les eaux rosées des nympheacées et de quelques coquelicots, je rêve puis je vis, 


Le coeur en marbre


Sous les cerisiers érubescents en fleurs


Couleur de mon cœur andrinople


Je m'endors


Dans les puits des tissus aquifères de larmes


Écoulées de mon cœur


Je navigue dans le giron de la nappe en or , flots de mon coeur


Du fil et d'une plume de mon ventricule gauche, je couds mon coeur et j'écris ce malheur


Élégie d'un monde nautique


Mon ventricule gauche  


ô condamné! comme Orphée 


sous les eaux sombres, 


Chœur d'Ophélie


ma passion se meurt


Je meurs puis je vis


À la plume d'un cœur figulin 


et à l'ancre d'une élédone de marin


Je range mon amphore dans mon écrin


En sa cime ballonnée, il revient, 


Chagrin d'artères en fleurs tel un refrain sans fin 


C'est comme si mon sang et ta sève ne faisaient qu'un 


À mon amour diluvien


                    Du 14 au 18 février

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vendredi 1 septembre 2023

⏪️Mon père, mon plus grand trésor⏩️

Mon père, mon plus grand trésor 

 Des yeux de velours
Plus beaux que le jour

Des cheveux en or
Mon plus grand trésor 

Tu es mon âme, mon soleil
Une huitième merveille 

Mes larmes quand je pleure
Mon bonheur, ma douleur

Mon rêve, mon sourire
Mon plus grand désir 

Bonne fête à mon père le plus cher
 
                             Le 21 juin 2019

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vendredi 25 août 2023

Au père exemplaire, ⏪️un jour inoubliable⏩️

 Au père exemplaire, <<un jour inoubliable>>


Toi , papa

Mon plus grand roi


Toi , plus cher que l'or 

Mes faiblesses , mes efforts


Des yeux étincelants

Un sourire si charmant 


Des cheveux luisants 

Tu es si beau , si galant


⏪️Joyeux Anniversaire au père exemplaire⏩️


Le 25 août 2019


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⏪️Un Poème à mon bel amour⏩️

<<Un Poème à mon bel amour>>


Tu es mon soleil

La plus grande merveille

Une partie de moi-même 

le chemin que je mène 

Rien n'est plus important

Qu'un père si charmant

Je t'aime très fort

Toi qui vaut beaucoup plus que l'or

J'aurai toujours besoin de toi

Reste toujours près de moi

Tu es vraiment indescriptible 

la personne la plus irrésistible 

Je vis au paradis , en paix

Quand j'admire ta beauté 


<<Joyeux anniversaire 
au père le plus cher>>


         De ta fille qui t'adore

Ce poème, je l'avais perdu et je l'ai retrouvé. J'étais très petite lorsque je l'ai rédigé. Je ne sais pas quel âge j'avais exactement

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mercredi 23 août 2023

⏪️Archimagie poétique⏩️ : À mon plus bel archange Gabriel

Titre : <<Archimagie poétique>> : À mon plus bel archange Gabriel 
Sous-titre : La forêt enchantée et le miroir psyché en laiton doré paré des ronces des roses



Dans la Sylvi(-) , j'ai croqué le marmot , et je t'ai trouvé , mon bel estradiot !]

Et lors , je vadrouillais lez cet arbrisseau , petit maître ! ta beauté m'enivre et je crapahute , encor!]

N'en déplaise aux ronces , et je me masque , oc ...]

j'enrobe les échardes des roses avec mon cagoule !]

Ô spinelle, tu t'arbores vraie! Frôle-moi! Ne lève pas l'ancre! Aborde-moi , alabandine , ô mes vioques ...]

Mon âme en goguette s'avère ores qu'une antiquaille!]

Après avoir pris racine , je me mire ! Tézigue , rutilant archange , te cogites la broussaille xérophyte , oïl! pardi ! Celle de la vie !]



Ta pomme, muscadin , sieur Sapeur en connaît un rayon! Et à quel propos nantir le guivre de jaspiner ?]

Cézigue se soupesant barbacole ? De quoi?]

Ô , en un tournemain , laissez-moi deviner ! Va te débiner ! Péroreur à mauvais escient ! Savoir gré à ma goguenardise]

Et N'en déplaise aux vilains crapauds des améthystes!]

Dans ta sylve , Je ne néglige pas tes vices , mon dandy ! et j'endosse mon chancre endémique]

Mioches grelots sur ton gambison , laisse les casse-pipes être des entourloupettes!]

Sieur Guivre, au lieu de bivouaquer deça, et de clabauder contre moi , Va pérorer à ton aminche , Sieur Vouivre !]

Tu as longtemps laiusser, arrête de jaspiller ! Ton aminche ne jase point ... Marche à la baguette et Décanille-toi! Avant que je ne l'ôte , mon domino ! Capiche? Mon masque ! Mon 
déguisement ! Tu zigonnes , corniaud ! Ô pauvre temps que la misère musarde! Décanille-toi avant que ma pomme travestie pépère se courrouce et te fasse vivre un enfer!]

Décoches ton défroque , Sire <<gravure de mode>>]

Me Crois-tu tout de bon , pauvre hère ? Ouvre l'oeil ! Je me moque de ton accoutrement !]

<<Sieur Vouivre! >> Dans les péristyles , je t'ai attendu cent sept ans ! J'ai fait banquette ! Ça fait belle lurette que j'ai besoin de ta pomme ! Ton ignoble aminche << Sieur Guivre>> pense avoir Barre sur moi!]

Sieur Vouivre , sieur abracadabresque , sieur Guivre m'a tripatouillé , ma vie est un bourrèlement , je lorgne d'avoir une vie sans rébus et embûches! tire mon épingle du jeu !]

Si tant est qu'il soit si gentillet , ton biquet , mon âme n'aurait pas été confronté aux mélis mélos!]

Au coeur de Mon Breloque , tu es là, mon Sylvain, et nous avons marché une fois sur les mêmes abbevilliens , sillonné le même trimard]

Et ton dard d'abeille, il m'a aiguillonné de ta broderie de Sigisbée , égrillard!]

Sans matraques ou bousin, la vie m'a quand même rivé à l'impétuosité!]



Ô Postillon orné de ton cheval andalou]

Tu ne crècheras qu'à Mézigue, nonobstant qu'ils te chercheront partout]

Les pertuisaniers te fourgonneront , mon écuyer! Hâblards abjects!]

Mon archange , Tu étais damoiseau mais n'oublie pas qu'après les loriots et leurs appeaux , tu as combattu les hallebardiers et les polaques pour être devenu mon chevalier]



Tézigue , par fumisterie , a été le reître dans les impasses rogues]
Ton daron a été briscard , et voszigues êtes le seul espoir qui brille à l'instar des étoiles et qui ne s'estompera jamais]
 
           De ta Marie-Ange aux bois dormants
                            Le 22 août 2023

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vendredi 4 août 2023

À ma mère adorée, ⏪️un jour spécial⏩️

 À ma mère adorée, <<un jour spécial>>

Toi, maman
Plus profonde que l'océan 

Toi, ma plus grande reine
Ma joie, ma peine

Tu es mon seul plaisir
Mon bonheur, mon sourire

Des yeux si mielleux
Des souvenirs si précieux 

Il y a tant de mots à dire
Je ne sais plus quoi t'écrire 

Comment terminer ce poème?
Tu ne sauras jamais combien je t'aime

Joyeux Anniversaire à ma mère la plus chère 

Lundi 29 juillet 2019

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Titre: Âme encrière Sous-titre: Deux 20 et un 19

Titre: Âme encrière  Sous-titre: Deux 20 et un 19  Vénère, je vénère l'amulette fantomatique Mécolle vénère adonc peau de zébi Parce l...